Des Afghanes députées en exil forment un parlement pour défendre les droits des femmes
Source: Terra Femina
Des dizaines de députés afghanes exilées en Grèce plaident pour les droits des femmes afghanes. A ce titre, elles ont lancé en collectif un nouveau parlement. C'est en Grèce, détaille The Independent, que sont aujourd'hui exilées près de la moitié des femmes députées et sénatrices afghanes. Là-bas, elles défendent autant les droits des citoyennes restées au pays que ceux des réfugiées. Effectivement, comme l'énonce Le Monde, la Grèce s'est dite "inquiète" concernant l'afflux de réfugiés afghans.
En attendant, c'est en Grèce que les voix des députées s'élèvent concernant le règne désastreux des talibans. "Notre peuple n'a rien. Les mères vendent leurs enfants. Nous devons élever la voix, nous devons mettre un terme à cela, a ainsi déclaré Yousufi Bek, femme parlementaire de 35 ans, qui a fui l'Afghanistan avec son mari et ses trois jeunes enfants après l'arrivée au pouvoir des talibans en août, comme le rapporte le Guardian.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Terra Femina, le 30 novembre 2021.
Des dizaines de députés afghanes exilées en Grèce plaident pour les droits des femmes afghanes. A ce titre, elles ont lancé en collectif un nouveau parlement. C'est en Grèce, détaille The Independent, que sont aujourd'hui exilées près de la moitié des femmes députées et sénatrices afghanes. Là-bas, elles défendent autant les droits des citoyennes restées au pays que ceux des réfugiées. Effectivement, comme l'énonce Le Monde, la Grèce s'est dite "inquiète" concernant l'afflux de réfugiés afghans.
En attendant, c'est en Grèce que les voix des députées s'élèvent concernant le règne désastreux des talibans. "Notre peuple n'a rien. Les mères vendent leurs enfants. Nous devons élever la voix, nous devons mettre un terme à cela, a ainsi déclaré Yousufi Bek, femme parlementaire de 35 ans, qui a fui l'Afghanistan avec son mari et ses trois jeunes enfants après l'arrivée au pouvoir des talibans en août, comme le rapporte le Guardian.
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